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Qu'elles sont les conséquences d'une guerre nucléaire ?

Un peu de science-fiction ?

Des évènements dignes de la science-fiction

Nous voyons, quels que soient les faits et événements qui interviennent, notamment vis-à-vis des politiques qui poursuivent des buts non avouables et des personnes devenant violentes et meurtrières sans réelles motivations. Le devenir d’une société qui devient individualiste et qui a le besoin, celui de se détruire. Ici, nous rejoignons la science-fiction, car tous ces événements semblent faire partie de notre avenir. Cet avenir est incertain pour beaucoup et notamment pour les plus démunis qui n’ont, comme ressources, que leurs larmes pour survivre. Mais ceux qui pensent être sortis des pressions que nous subissons vivront une grande désillusion quand ils subiront aussi le même avenir. C’est ceux-là même, devenus égoïstes, insensibles, repliés sur leurs motivations personnelles, qui souffriront le plus. C’est ceux-là même qui auront facilité l’installation d’une gangrène pouvant entraîner la mort. Pour eux, il sera trop tard quand ils comprendront leur erreur.

Qu’elles sont ces pressions dignes des sujets de science-fiction !

La première des pressions est la peur, une peur insidieuse que nous communiquent tous les dirigeants des peuples. La seconde arrive à grand renfort de médias aux ordres des lobbyings et autres milliardaires pour une éventuelle nouvelle guerre mondiale. La troisième, c’est de commencer à subtiliser nos approvisionnements en nourritures, d’énergies et de communications. La quatrième est de nous obliger à devenir serviles et d’avoir un regard sur ce que nous faisons et de ce que nous disons. La cinquième est de ne nous dire, par les médias officiels et dits indépendants, que les nouvelles dont ils ont l’autorisation de nous apporter. Enfin, une sixième des intimidations, pour ceux qui restent réfractaires, de subir une censure avec des risques de poursuites judiciaires qui ira jusqu’à nous être assimilées au terrorisme. Il n’y a qu’une possibilité pour se sortir de ce système hégémonique, c’est d’être solidaire les uns les autres. Mais je crois, en ces temps du 21e siècle, que celle-ci est devenue une imagination de science-fiction.

Mais revenons à une forme probable comme…

La notion de guerre nucléaire appell

e la destruction de tout notre écosystème. Est-ce de la science-fiction ?

Voyons notre globe, la Terre. C’est de notre écosystème ou l’on ne peut s’échapper.

Il se prépare, je pense, à un changement radical. Je ne vous dis pas quoi, je ne saurais qu’imaginer, mais ce dont je suis certain, c’est que ce bouleversement ne puisse être que radical. Alors, imaginons le futur !

Voir le site : Ukraine : « Il y a le risque d’une troisième guerre mondiale », avertit Christian CAMBON | Public Sénat

 

Il faut reconnaître que toutes les prévisions possibles ne se réalisent que rarement. Une guerre générale, mondiale ou chaque parcelle de terre et même de mer seront revendiquées.

Prenons une vision de science-fiction, pourquoi pas une guerre entre la Chine et la Corée du Nord contre les Etats-Unis et de l’autre La Russie contre l’Europe. L’Afrique, le Pacifique, l’Asie du Sud et l’Amérique du Sud restant neutre auront le choix, plus tard, de choisir leurs camps. Ce qui entrainera encore une autre guerre. Les trois quarts de la population seront décimés. Il restera des points de résistances actifs. Pour ceux-là, La motivation sera une grande espérance de libération. Les vainqueurs seront affaiblis et leurs peuples traumatisés.

Toute vie sur terre serait-elle détruite par la guerre ?

Notre écosystème, c’est la vie des origines, du présent et de notre futur.

La grande question, pourquoi faire le choix de la guerre ?

Tous les hommes, de tout temps, ont résolu les problèmes en s’entretuant, faisant fi des causes et des possibles ententes. Ce sont toujours les peuples qui sont devenus de la chair à canon, jamais les dirigeants. Ce choix n’a jamais résolu les sujets de discordes. Ils se répètent d’année en année, de siècle en siècle, de millénaire en millénaire, une véritable science-fiction. Pourtant, l’univers est suffisamment immense pour faire la paix et trouver les moyens de survivre que d’assouvir ce besoin de conquête mortifère. Mais les hommes préfèrent le chaos qui est son arme favorite, mais sans savoir la dominer. Voir « Le chaos, une philosophie« .

Dans une science-fiction, la fin est souvent prise dans une ressource. Elle est inconnue par les belligérants et découverte par les résistants, les réfractaires, les opposants aux nouveaux régimes. Dans tous les cas, ce sera la guerre encore une fois. Ce désir de dominer reste le principal moteur de l’individu, du plus pauvre au plus riche. Dans les milieux du banditisme et de la criminalité, nous trouvons la même structure, le chef, les adjudants et les exécutants. Dans le milieu politique, les formations sont sur le même modèle..

 

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