Une société d’économie ou des besoins

Notre système de société basé sur l’économie de l’entreprise est-il vraiment le bon chemin pour un avenir meilleur ?

Nous sommes dans une société qui fait passer l’argent avant la vie, qu’elle soit humaine, animale, végétale et minérale. Une société qui se base sur les besoins de vie ne sera-t-elle pas plus inventive, plus motivante, plus juste ? Bien que la première engendre la corruption et le meurtre, la seconde donne à tous, ce qu’elle a de mieux. Enfin, la performance économique n’a de sens véritable que dans l’innovation et la création. Nos organisations font que cette performance doit produire plus, plus vite avec des records de prix. Des prix bas au détriment des employés qui produisent ces richesses pour donner encore plus au capital et encore moins à ces employés.

Dans les sociétés de l’ancien régime, le régime féodal, les familles royales, la noblesse et le clergé ne travaillaient pas, mais vivaient sur la production du « bas peuple » (voir l’article : « 1789, est-ce la fin du régime féodal ? »). Les impôts et taxes étaient extrêmement importants. Ils maintenaient un seuil de pauvreté sur l’ensemble des roturiers, des vilains et des alleutiers ou cultivateurs.

Notre société dite moderne d’aujourd’hui est sur la voie de revenir sur le principe du régime féodal. Il est nécessaire de comprendre que nos sociétés où « l’élite » vit au détriment des producteurs de richesses. Les producteurs de richesses sont les exécutants et souvent à l’origine des innovations. A savoir que ces élites sont de deux sortes, politiques et financières. Cependant leurs buts ne sont pas de rendre le monde heureux. Ils accumulent les richesses qui leur donnent le pouvoir. Ils n’ont, pour le peuple, que du mépris et le traite comme un déchet de leur cubicité. Comme une nécessité, devrais-je dire, pour leur avidité à leur richesse personnelle. Telle est notre société actuelle.

Une société ne produisant que pour son besoin.

Pour idée, imaginons avec force une forme de nouvelle organisation de la société ou les besoins essentiels sont apportés, sans contrepartie. Il est important de définir les besoins essentiels et basiques. Surtout, c’est d’avoir un toit décent, puis un repas et de même, des soins médicaux et l’hygiène, et enfin l’habillement et les transports en commun. Pour le plus, à chacun d’améliorer son quotidien en travaillant. Vous désirez vous déplacer ? En place des transports en commun si vous voulez un vélo, une mobylette, une voiture, il vous faudra travailler. A savoir, pour la collectivité, le travail est nécessaire. Oui, il est nécessaire et obligatoire selon les besoins vitales et évolutifs de notre société. Un travail équivalent de quelques heures par semaine est fourni à ce qu’il lui est donné par la collectivité.